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28 novembre 2010 7 28 /11 /novembre /2010 12:29

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Scandale économique majeur qui donne lieu, selon les parties civiles, à une parodie de procès.Le jugement sera rendu le 23 mai 2011 et ne concernera que l'exploitant,mis en cause pour une simple infraction à la règlementation du contrôle des installations !!!
 
Peut être serait il bien de mettre ce petit commentaire sur le blog de l'association  La ministre de l'écologie,  N.K.M a estimé mardi, lors d'un déplacement à LYON, qu'un "scandale comme celui de GILLY SUR ISERE ne peut  aujourd'hui pus arriver" grâce aux nouvelles normes mises en place !! à suivre et à voir!! nous attendons toujours sa réponse à notre courrier.

 

Mireille Alexandre : Présidente de l'association Sans Nature pas de Futur

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 12:27

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Quelques lignes pour associer notre combat à celui de l'association de la "Roche Fendue"

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Source : La voix de l'ain : du vendredi 12 novembre 2010

 

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Pour en savoir plus :


 

Comme nous l’avions relaté dernièrement (édition du 14 mai), le projet d’une carrière semble se confirmer sur la commune de l’Abergement-de-Varey, située sur les hauteurs de la Côte Savin et de Salaport proche du site de la Roche fendue.

Plus de monde que prévu

Pour faire face à ce dessein, qui trouve de farouches opposants, une association est en cours de constitution. Une des premières rencontres s’est déroulée dans la grande salle du bar « chez Manu » à Saint-Jean-le-Vieux. Les organisateurs attendaient une vingtaine de personnes, mais elles étaient bien plus d’une cinquantaine, venues de l’Abergement-de-Varey, Ambronay et Saint-Jean-le-Vieux. Initiateur de la rencontre, Christophe Vély, étonné de voir autant de monde, a voulu donner quelques chiffres avant de faire appel aux volontaires pour composer l’association. La carrière va s’étendre sur une superficie de 25 ha. Le volume extrait serait supérieur à 20 millions de m3 avec un prélèvement estimé à 200 000 tonnes par an, soit plusieurs décennies d’exploitation. Avec des tirs de mines mensuels, l’évacuation des gravats se ferait par tapis roulant électrique jusqu’à l’actuelle carrière située sur Saint-Jean-le-Vieux. De nombreuses remarques, toutes opposées au projet, sont parvenues de l’assemblée et rapidement la liste des volontaires, prêts à intégrer l’amicale, était bien remplie. Un soutien surprise est venu des spéléos de l’Ain dont un représentant était présent dans la salle. Une réunion importante prévue cette semaine va permettre de connaître la composition du bureau et de constituer le dossier administratif qui sera transmis en sous-préfecture.

Un site a même été créé www.rochefendue.org portant le nom de la future association.


Cet article a été publié le Mardi 29 juin 2010 à 12:04


Source : http://www.voixdelain.fr/2010/06/29/forte-opposition-au-projet-de-carriere/


 

 

Avec la fin des vacances, l’association « la Roche fendue » a décidé d’une assemblée générale d’une part pour renouer avec ses adhérents et d’autre part élire un nouveau président, suite à la démission de Christophe Velly.Environ une centaine d’adhérents et de sympathisants s’étaient réunis dans le sous-sol de la salle des fêtes de l’Abergement pour faire un point de la situation, sur le projet de carrière qu’aucun dans la salle ne veut voir aboutir.

Pétition et réunion publique

Malgré des rumeurs, pendant la période estivale, d’une étude non concluante du gisement suite à plusieurs carottages du terrain, l’association, rassemblant 501 adhérents à ce jour et rassemblant plus de 1 500 signatures d’une pétition, veut rester vigilante et attend avec impatience la réunion publique qui était programmée pour le mois de septembre.

L’ordre du jour de l’assemblée extraordinaire prévoyait la désignation d’un nouveau président. À défaut de désigner une personne, le conseil d’administration a décidé d’une présidence collégiale composée de dix commissions : agriculture, association, chasse, pêche, communication, foncier, géologie, juridique, nature et rando-sport, avec un référent-leader et la possibilité à chacun des adhérents d’intégrer une de ses commissions, avec un maximum de dix personnes, en fonction de sa sensibilité. Cette modification de la tête de l’association a nécessité une évolution des statuts dont plusieurs articles ont été repris, par Thierry Virton référent juridique, et acceptés à l’unanimité par l’assemblée.

Galettes et tee-shirts

Lors de cette réunion, les organisateurs ont fait part d’une opération galettes et vente de tee-shirts précédée d’une marche, le tout programmé pour dimanche 12 septembre. L’appel n’est pas resté sans effet puisqu’une centaine de marcheurs ont fait, en ce jour dominical, le parcours entre la mairie et le four de Dalivoy, où s’est déroulée la manifestation, étant rejointe sur la petite place du hameau par de nombreux sympathisants venus soutenir les opposants à la carrière et faire l’achat de galettes et tee-shirts.

 

Cet article a été publié le Mercredi 22 septembre 2010 à 12:00


Source : http://www.voixdelain.fr/2010/09/22/1%C2%A0500-signatures-contre-la-carriere/

 

 

 

Un projet de carrière, par la société Granulats-Vicat, à l’Abergement-de-Varey et qui aurait concerné la commune de Saint-Jean-le-Vieux, pour le convoyage des matériaux, a fait face à une levée de boucliers importante de la part des anti-carrière qui ont créé une association « La Roche fendue ».

Banderoles et affiches ornaient depuis le début de l’été les panneaux d’affichage des deux communes. La position des deux municipalités semblait claire dès le début du dossier à savoir qu’aucune décision ne sera prise et aucune réunion publique programmée, avant de connaître les résultats des études menées par un bureau extérieur à la société Vicat, suite à la demande de Max Orset, maire de l’Abergement-de-Varey, tout en exigeant de la société une transparence de tous les instants sur l’avancée de l’analyse. Un courrier remis aux deux maires par Patrick Escoffier, directeur régional de Granulats-Vicat, fait savoir que « les résultats des sondages géologiques ont déterminé que la quantité de roche, dont la qualité aurait permis une transformation en granulats, est insuffisante pour envisager son exploitation. » Et de conclure « La condition de la quantité disponible étant déterminante dans la suite à donner au projet, nous avons mis un terme aux autres études techniques qui étaient spécifiques à ce site. De ce fait nous ne procéderons pas aux étapes suivantes. ». Ainsi le dossier est clos pour le plus grand soulagement des opposants au projet qui maintiennent leur association et disent rester vigilants à tous desseins touchant l’environnement.


Cet article a été publié le Samedi 9 octobre 2010 à 12:00


Source : http://www.voixdelain.fr/2010/10/09/des-etudes-non-concluantes-mettentun-terme-au-projet-

de-carriere/

 

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BLOG : link

http://rochefendue.org/topic1/index.html

 

Cet article vous a intéressé, vous aimerez le suivant : 

Association " La Roche Fendue " : a dit NON aux carrières de VICAT - 01



 


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19 octobre 2010 2 19 /10 /octobre /2010 10:04
Que justice soit rendue !!!


Albertville/Justice Rebondissement dans l'affaire de la dioxine

 

Albert Gibello, ancien maire d'Albertville et ancien président du Simigeda (qui gérait l'ancien incinérateur de Gilly fermé en 2001 pour pollution à la dioxine), et Pierre-Etienne Bisch, ancien préfet de la Savoie, pourraient comparaître à la barre du tribunal correctionnel d'Albertville suite à la citation directe de Vivre en Tarentaise, une association représentée par Me Thierry Billet. Initialement, seuls Novergie (l'exploitant de l'incinérateur) et l'ancien contremaître de l'usine étaient appelés devant la justice.
La consignation (obligatoire pour une citation directe) a été fixée par les juges à 1500 euros par personne. Elle devra être payée avant le 10 novembre pour que Albert Gibello et Pierre-Etienne Bisch puissent effectivement être convoqués à l'audience du 29 novembr

le 18/10/2010 à 17:06

Mis à jour il y a environ 3 heures


 

Source : http://www.ledauphine.com/savoie/2010/10/18/rebondissement-dans-l-affaire-de-la-dioxine

 


 

Vous aimez cet article : vous aimerez les suivants :


La juge et l'affaire des dioxines - documentaire - société - France 2010 - Réalisation Clarisse Feletin

 

Pour en savoir plus sur ce sujet : un blog très intéressent :

www.pierre.ivanes.free.fr link


 


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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 17:58
Bouvesse-quirieu / isère 

Sur le futur site d’implantation, des espèces protégées ont été identifiées comme la tortue cistude, la couleuvre à collier et la salamandre. Archives Le DL
Chimirec face aux espèces protégées sur le futur site d’implantation, des espèces protégées ont été identifiées comme la tortue cistude, la couleuvre à collier et la salamandre.

 

Archives Le DL


La présence d’espèces protégées pourrait-elle compromettre le projet d’implantation de Chimirec Centre-Est au lieu-dit l’Etang à Bouvesse-Quirieu ?

C’est l’espoir de l’association Sans nature pas de futur, opposée au projet de création d’une plateforme destinée au tri, au stockage et au prétraitement de déchets industriels dangereux (diluants, peintures, colles, piles, filtres à huile, aérosols…).

Si le commissaire enquêteur a rendu un avis favorable au projet fin 2009, le préfet doit arbitrer la décision. Une décision qui se fait attendre. C’est ainsi que les responsables de Sans nature pas de futur ont sollicité une rencontre avec le sous-préfet de La Tour-du-Pin. « Nous avons pu obtenir un rendez-vous le 9 septembre avec Gilles Cantal, en présence d’une représentante de la Direction régionale de l’environnement (Dreal, ex Drire) », précise Mireille Alexandre la présidente.

Tortue, couleuvre et salamandre


« Nous avons appris avec consternation, qu’il y avait une demande de dérogation de la part de la société Chimirec auprès du ministère de l’Environnement, pour maintenir son projet d’implantation dans une zone où ont été identifiées des espèces protégées comme la tortue cistude, la couleuvre à collier noir, la salamandre et différents oiseaux migrateurs ».

C’est à la demande de la Dreal, en effet, qu’une étude d’environnement plus poussée a dû être réalisée par Chimirec, révélant la présence de ces espèces. Dans un courrier adressé au ministre de l’Environnement Jean-Louis Borloo, l’association nord-iséroise demande que soient respectés les objectifs du gouvernement en matière de préservation de l’environnement et de prévention des risques industriels.


De son côté, le président de Chimirec Centre-Est, Christian Janvier, se dit confiant quant à l’obtention d’une dérogation par le ministère de l’Environnement. « Nous allons déposer un dossier à la Dreal détaillant nos mesures compensatoires, comme par exemple la création d’une mare écologique. Ces mesures devraient même favoriser certaines espèces comme les salamandres qui se retrouvent piégées l’été, sur un terrain asséché. »

Le responsable de Chimirec espère obtenir le feu vert des autorités d’ici le premier trimestre 2011.


par la rédaction du DL le 02/10/2010 à 05:00

 

Source : http://www.ledauphine.com/isere-nord/2010/10/02/chimirec-face-aux-especes-protegees

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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 10:26

La juge et l'affaire des dioxines - documentaire - société - France 2010 - Réalisation Clarisse Feletin

 

Quand Mme le juge d’instruction se pose des questions…

 

Pour Méditer

 

 

 

 

 

Notre rendez-vous hebdomadaire avec la Revue XXI et un zoom ce matin sur le documentaire " la juge et les dioxines " diffusé à la rentrée sur France 2.

Un coup de cœur de la Revue XXI. Le suivi au quotidien de l’instruction sur la pollution de l’incinérateur d’Alberville en Isère entre 2002 et 2007, avec Clarisse Feltin, la réalisatrice du film au micro d’Hélène Fily.

La juge et l’affaire des dioxines a reçu la mention spéciale au festival Figra.

  Une chronique présentée aujourd’hui par Hélène Fily.  (2'11")
   

Synopsis

Au Tribunal d’Albertville, une jeune juge d’instruction est en charge d’un délicat dossier de pollution industrielle : un incinérateur d’ordures défectueux semble être la cause d’une vague de cancers chez les riverains. L’incinérateur a été fermé, les habitants ont porté plainte... En suivant les étapes de l’enquête et de la procédure, le film explore le travail du juge d’instruction, ses responsabilités, ses certitudes et ses fragilités. Une enquête à charge et à décharge, exemplaire du fonctionnement du système judiciaire français.

Regarder un extrait du documentaire

link

Source : http://www.france-info.com/chroniques-france-info-revue-xxi-2010-08-22-la-juge-et-l-affaire-des-dioxines-478536-81-387.html

 

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Quand Mme le juge d’instruction se pose des questions…

 

Le 9 septembre 2010 à 18h30

 

LE FIL TéLéVISION - Comment ça travaille, un juge d'instruction ? Pour le savoir, la documentariste Clarisse Feletin a posé sa caméra pendant cinq ans dans le bureau de la jeune magistrate Hélène Gerhards-Lastéra, à Albertville, confrontée au délicat dossier d'une pollution à la dioxine. “La Juge et l'affaire des dioxines” est diffusé ce soir sur France 2, et histoire de vous donner envie de voir ce travail exceptionnel, la réalisatrice commente deux extraits du film.

 

         
 

 

De 2002 à 2007, Clarisse Feletin a suivi de l'intérieur l'instruction menée par la juge Hélène Gerhards-Lastéra, à Albertville. D'abord simple histoire de pollution à la dioxine causée par le dysfonctionnement d'un incinérateur d'ordures ménagères, le dossier traité par la magistrate va peu à peu évoluer en vaste affaire de santé publique, impliquant de hauts responsables de l'Etat. Fruit de cinq ans passés dans le tribunal savoyard, La Juge et l'affaire des dioxines est diffusé ce soir sur France 2 à 23h05. La réalisatrice commente pour nous deux séquences de son documentaire.« Cette interview, je l'ai réalisée au début de l'instruction ; aucune mise en examen n'était encore intervenue. On est seules, ce jour-là, je crois que c'est un dimanche, dans le bureau d'Hélène Gerhards-Lastéra. Le tribunal d'Albertville est désert, l'ambiance détendue. J'ai très souvent filmé en plan fixe. D'abord pour ne pas troubler le travail d'enquête et puis parce que je voulais me mettre en immersion, me fondre dans le décor et que ça se sente à l'image. Ici, je voulais lui faire parler de son métier, de manière informelle, assez libre ; la question de l'indépendance est venue naturellement dans la conversation.

La première chose qui ressort de ses propos, de la définition qu'elle donne du métier de juge d'instruction, c'est que la justice est humaine et faillible, car rendue par des hommes qui sont eux-mêmes faillibles. Elle n'est pas dans l'affirmation constante. Elle doute. Bien sûr, elle est très jeune, elle sort juste de l'Ecole nationale de la magistrature, c'est la première grosse affaire qu'elle instruit... Mais, en même temps, c'est l'une des vertus cardinales de son métier. C'est sain pour un juge d'instruction de douter.

Du point de vue de la personnalité et des méthodes, on peut facilement l'opposer au procureur, qui lui est quelqu'un de très affirmatif, de très sûr de lui ; en c

 

Source : http://television.telerama.fr/television/quand-mme-le-juge-d-instruction-se-pose-des-questions,59976.php

Un très bon article du Journal du Canard Enchaîné du 15 septembre 2010 - Rubrique la boite aux images
" La Juge et la dioxine"
Copie de cet article peut vous être envoyer sur simple demande - Merci pour cela de nous adresser un message ainsi que vos coordonnés - nom et email

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On peut lire ceci :

....Nous la voyons obtenir sans aucun mal les aveux du directeur de la boîte, dépassé par les évènements : oui, lorsque les fumées devenaient trop chaudes, au point de menacer de faire éclater le oyer, ils ouvraient le "by-pass", un système de déviation qui permettait d'evoyer les déchets à l'air libre. D'Où des jets dedioxine 750 fois plus élevés que les normes admises. Sans compter les autres métaux lourds. "Tout le monde était au courant. Nous avions reçu des lettres du ministère de l'Environnement", dit-il avant d'être placé en garde à vue. Mais les soucis commencent très tôt pour Hélène Lastéra : lorsqu'elle interroge le haut fonctionnaire de la DRIRE (Direction régionale de l'industrie, de la recherche et de l'environnement), officiellement chargée de sureveiller l'usine et d'informer le Préfet. IL A COUVERT le désastre écologique .....

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21 juillet 2010 3 21 /07 /juillet /2010 23:47
Nous espérons que notre nouveau Préfet, Mr le DOUARON sera sensible à notre cause, celle du respect de notre environnement et sera faire le bon choix en refusant l'implantation de CHIMIREC sur la commune de Bouvesse-Quirieu.
Affaire donc à suivre....

 


Nicolas Sarkozy limoge le préfet de l'Isère et annonce une réunion sur les Roms

Sarkozy
© Photo S. Gautier

Après les récentes violences à Grenoble et dans le Loir-et-Cher, le chef de l'Etat a démis de ses fonctions le préfet de l'Isère, Albert Dupuy. Eric Le Douaron, actuel préfet de la Meuse et ancien policier, lui succèdera le 30 juillet. Le chef de l'Etat a en outre évoqué, au cours du conseil des ministres du 21 juillet 2010, les "problèmes" provoqués par "certains" gens du voyage.

Le préfet de l'Isère Albert Dupuy a été placé préfet hors cadre par le conseil des ministres. Son remplaçant, Eric Le Douaron, 59 ans, est un ancien cadre de la police, où il a passé plus de trente ans. Il avait grimpé tous les échelons de la préfecture de police de Paris jusqu'à prendre le commandement stratégique de l'ex-police urbaine de proximité. Nicolas Sarkozy, qui avait déjà nommé l'ex-policier Christian Lambert au poste de préfet de Seine-Saint-Denis après des faits divers violents, a précisé qu'il installerait lui-même Eric Le Douaron dans ses nouvelles fonctions le 30 juillet. "Le gouvernement mène une lutte implacable contre la criminalité. C'est une véritable guerre que nous allons livrer aux trafiquants et aux délinquants", a prévenu le chef de l'Etat .(.....)

 

 

Source : http://www.courrierdesmaires.fr/actualite/a-la-une-nicolas-sarkozy-limoge-le-prefet-de-l-isere-et-annonce-une-reunion-sur-les-roms-19106.html

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10 juin 2010 4 10 /06 /juin /2010 14:09

 

 

Jean-Jack Queyranne, Président de la Région Rhône-Alpes, Alain Chabrolle, Vice-président délégué à la santé et à l’environnement et Sarah Boukalaa, Conseillère régionale déléguée à la jeunesse, ont visité ce matin la cimenterie Vicat, à  Montalieu-Vercieu puis la Réserve Naturelle Régionale (RNR) des étangs de Mépieu.


Située dans le nord de l’Isère, la RNR des étangs de Mépieu est remarquable par la diversité exceptionnelle de sa faune et de sa flore. Alternant zones sèches et humides, les 161 hectares du site abritent 612 espèces de plantes, 170 espèces d’oiseaux, 35 espèces de mammifères…


Classée en RNR pour une période de 30 ans par le Conseil régional en juillet 2008, cette réserve constitue l’exemple d’une collaboration réussie entre collectivité, association et industriel au service de la nature. En effet, le site appartient à la commune de Creys-Mépieu (43 hectares) et au groupe Vicat, (118 hectares), dont les carrières sont progressivement réaménagées et intégrées à la RNR.


L’association Nature Nord Isère Lo Parvi est gestionnaire du site. A ce titre, elle bénéficie de près de 260 000 € de subventions régionales sur la période 2008 – 2012 afin d’assurer des missions de protection, d’étude et d’animation.

Volontairement restrictif, le label RNR est accordé par la Région aux milieux naturels les plus emblématiques. Pour un territoire, c’est un engagement à long terme (10 ans minimum) synonyme :
• d’une réglementation spécifique qui vient compléter la législation existante,
• d’un cadre de gestion partenarial adapté à la taille et aux enjeux locaux,
• d’un territoire d’innovation pour l’expertise et la recherche,
• d’un lieu privilégié pour la pédagogie de la nature,
• de moyens financiers affectés par la Région pour impulser des projets.

Une politique régionale innovante en matière de biodiversité  

Avec 22% du territoire rhônalpin considéré comme « espace naturel remarquable », Rhône-Alpes possède une biodiversité exceptionnelle sur son territoire. Afin de la protéger, la Région a mis en place, dès juillet 2006, une politique de préservation du patrimoine naturel
volontariste et innovante qui a pour objectif de construire un réseau régional des espaces préservés basé sur :
• 12 RNR qui représentent une superficie totale de 2000 hectares,
• 3 corridors biologiques : naturels ou artificiels, ces espaces sont indispensables aux espèces animales pour se déplacer librement et en toute sécurité d’un territoire à l’autre,
• 14 Contrats biodiversité en Rhône-Alpes qui concernent des sites présentant une biodiversité d’intérêt régional, peu ou pas protégés.

En 2010, la Région consacre 4,7 M€ aux RNR et à la préservation du patrimoine naturel rhônalpin.

 

Source : http://www.sillon38.com/blog/tag/lo-parvi/

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3 juin 2010 4 03 /06 /juin /2010 12:34

Très bon article du Canard enchaîné sur la première biographie de Nicolas HULOT : "Sain Nicolas" :

En deux mots à méditer 


 

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A retenir de cet article :


Il réalise " 3 voir 4 émissions par an..... TF1 lui verse un salaire mensuel de 33.000 €... Droits d'auteur 16.700€ pour un documentaire ..... plus les droits sur les bouquins, les royalties versées par 17 industriels (L'OREAL, ATOL, QUO VADIS etc...) pour avoir le droitd"utiliser lamarque Ushuaïa.... soit environ  60.000 € mensuel

Cette année son CA represnte 700.000 euros.....

Interrogé sur cet argent Mr HULOT répond " - Je n'ai pas de comptes à rendre. Je ne suis pas candidat à  laprésidence de la République (pas encore !)

 

 

Livre à lire de Bérengère BONTE : Sain Nicolas - Edition du Moment

 

«Sain Nicolas»: des 4x4 au Pacte écologique

 

 

26 commentaires

Créé le 06.05.10 à 18h50 -- Mis à jour le 06.05.10 à 18h50
Nicolas Hulot, le 5 octobre 2009, dans les studios de la radio NRJ

Nicolas Hulot, le 5 octobre 2009, dans les studios de la radio NRJ F. DUPUY / SIPA


PORTRAIT - La vie de Nicolas Hulot, écolo préféré des Français, est passée au crible dans une biographie...


Le meilleur porte-parole de l’écologie pour les Français, Nicolas Hulot, fait l’objet d’une première biographie. Sain Nicolas, écrit par la journaliste d’Europe 1 Bérengère Bonte, revient sur le parcours de l’animateur d’Ushuaïa et auteur du Pacte écologique.


Un portrait sans concession puisque l’auteur insiste aussi sur le Nicolas Hulot passionné d’hélicoptère, d’ULM ou de 4x4. Le «casse-cou», qui ne se souciait alors pas d’environnement, présentant une émission subventionnée par Rhône-Poulenc. Dans l’ouvrage, son amie Dominique Voynet explique «à cette époque, Nicolas est encore avant tout un ado égoïste, hédoniste».


Un «ado» chez qui naîtra néanmoins, au fil de ses émissions Ushuaïa, un intérêt pour la protection de l’environnement, malgré les moyens gigantesques employés sur les tournages. «Les voyages forment la conscience écolo. Hulot a changé», explique Bérengère Bonte.


Le meilleur pour défendre l’environnement

Il change et s’investit alors dans sa Fondation. Puis en politique. Avant de se retirer du jeu, en janvier 2007, l'ex-aventurier rassemblait jusqu'à 15% d'intentions de vote au premier tour de l'élection présidentielle. Début avril, il était encore jugé le meilleur pour défendre l'environnement par 53% des Français.


Proche de Chirac, admiré par Jean-Louis Borloo, il ne garde pas pour autant sa langue dans sa poche et n’hésitera pas non plus à claquer la porte du Grenelle de l’environnement, après le refus de la taxe carbone.


Ce livre, «Sain Nicolas» n'en voulait pas. A deux reprises, il a bloqué des projets similaires. Sans lui, l'auteur a néanmoins enquêté sans entrave, remontant les mille vies de Nicolas Hulot, visitant ses différents mondes - médias, environnement, politique - dans lesquels il sait, chaque fois, cultiver les contacts.


«Je ne suis pas né écolo, je le suis devenu»

Copains de Bretagne et cousins corses, potes du Paris-Dakar, patrons de TF1, équipes d'Ushuaïa, scientifiques de sa Fondation, ONG et bien sûr politiques, ils dessinent le portrait contrasté d'un animal médiatique, séducteur invétéré, homme d'affaires prospère (bien qu'il s'en soit toujours défendu), père angoissé, élève enthousiaste de ses maîtres en environnement, à l'ego et à l'humeur en dents de scie.


Nicolas Hulot le confie souvent: «Je ne suis pas né écolo, je le suis devenu». Au fil de l’ouvrage on constate en effet l’évolution de ce rejeton de la bourgeoisie catholique. Jusqu’à son retrait, aujourd’hui, après l’échec de Copenhague et du «Syndrome du Titanic», son film. «Il réfléchit à la meilleure façon de revenir peser dans les débats pour 2012», estime Bérengère Bonte. 


Oriane Raffin

Source :  20 minutes : http://www.20minutes.fr/article/402907/Planete-Sain-Nicolas-des-4x4-au-Pacte-ecologique.php
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1 juin 2010 2 01 /06 /juin /2010 18:48

 

 

 

 

 

 

Cet article et cette vidéo du journal CAPITAL nous explique clairement comment des Maires décident de rendre un terrain constructible......


 

 

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7 avril 2010 3 07 /04 /avril /2010 19:47

PORCIEU-AMBLAGNIEU / POLLUTION 200 pneus jetés en pleine nature...Le maire a déposé plainte!



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par La Rédaction du Dauphiné Libéré :  le 07/04/10 à 05h04 

 

 

 

 

Il faut que cela cesse ! Nos administrés viennent tout juste de donner de leur temps pour nettoyer la commune et voilà que des personnes indélicates déversent près de 200 pneus dans la nature. C'est désespérant... ». Une semaine après cette triste découverte, Jean-Claude Buhagiar, maire de Porcieu-Amblagnieu, clame son indignation face à de tels comportements irresponsables. « La découverte a été faite par notre employé communal. Deux jours après l'opération de nettoyage de printemps, il faisait la tournée pour ramasser les déchets rassemblés ici et là. En parvenant en lisière du bois de Montéru, à proximité de la Dangereuse, il est tombé sur le dépôt sauvage d'une centaine de pneus. Même chose sur un autre site, au Combeau », rapporte l'élu tout en dénonçant le coût engendré par ces dépôts sauvages et supporté par la collectivité. Aussitôt le Sictom averti afin de procéder à l'évacuation de ces déchets volumineux, le maire a déposé plainte auprès des gendarmes de la brigade de Montalieu-Vercieu. Une enquête a été ouverte afin d'identifier l'origine de ces pneus usagés. La Frapna devrait déposer plainte à son tour.

 

V.W. Paru dans l'édition 38B du 07/04/2010 (202422670217)

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Présentation De L'association

  • : Blog de Sans Nature Pas De Futur
  • : Respect de la Nature et de l'environnement sur la commune de Montalieu-Vercieu 38390 Association de protection de l’environnement et de la santé en Rhône-Alpes. Risques liés aux déchets industriels dangereux proches habitations
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