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Fin juin agriculteurs, riverains et membres des associations Terre et vie d’Anjou et Entre Taude et Bellebranche avaient manifesté devant Aprochim, à Grez-en-Bouère (Mayenne)
Archives Ouest-France
Si Aprochim ne signe pas de protocole d’indemnisation sur d’éventuels préjudices à venir, pas question pour cette usine de décontamination de Grez-en-Bouère (Sud-Mayenne) de reprendre à plein régime pour trois mois, les tests imposés par l’État.
Il y a six mois, des traces de pollutions avaient été relevées autour de cette usine spécialisée dans la décontamination des PCB (d’anciens isolants électriques). Des évaluations sanitaires pour les riverains ? Une autre interrogation qui devrait être levée le 11 juillet, date à laquelle le ministère de la Santé dira si, oui ou non, il accepte de procéder à des évaluations sanitaires sur la population vivant près d’Aprochim.